Vente OM : Eyraud et l’Arabie saoudite ont failli racheter un club français !

Eyraud, ancien président de l'OM (2016-2021)
Eyraud, ancien président de l'OM (2016-2021)

Ancien président de l’OM, Jacques-Henri Eyraud a failli racheter le Paris FC en compagnie d’investisseurs américains. Un club sur lequel l’Arabie saoudite et le PIF avaient aussi des vues.

C’est la grosse information de la semaine pour le football français. Actuel leader de Ligue 2, le Paris FC est en passe d’être racheté par la puissante famille française Arnault, qui est à la tête du groupe de luxe et de spiritueux LVMH et qui pèse plus de 190 milliards d’euros, soit la troisième fortune mondiale.

La famille Arnault va devenir actionnaire majoritaire du club parisien prochainement tandis que la firme Red Bull va racheter 15% des parts du club parisien. Avec ces deux actionnaires, le Paris FC espère changer de dimension et rivaliser d’ici quelques années avec les plus grands clubs français, l’OM et PSG en tête.

Eyraud et l’Arabie saoudite ont pensé au rachat du Paris FC

Dans un article de Challenges, média spécialisé sur l’économie, consacré au rachat à venir du Paris FC, on apprend que l’ancien président de l’OM Jacques-Henri Eyraud a failli racheter le club parisien. Celui qui avait convaincu Frank McCourt de racheter l’OM à Margarita Louis-Dreyfus en 2016 était de mèche avec deux nouveaux investisseurs américains pour tenter de racheter le Paris FC. Un projet qui n’a donc pas abouti.

Souvent associé au rachat de l’OM ces dernières années, le fonds d’investissement saoudien Public Investment Fund (PIF), qui possède notamment Newcastle en Premier League, a aussi regardé le dossier du Paris FC selon Challenges.

Mais c’est donc la famille Arnault et Red Bull qui ont convaincu Pierre Ferracci de leur vendre ses parts. Il est d’ailleurs amusant de noter que les rumeurs de Vente OM se sont bien calmées depuis plusieurs mois, notamment depuis l’arrivée de Roberto De Zerbi, qui a entraîné un regain de passion autour du club et beaucoup moins de divisions. Pourvu que ça dure…